Netflix: 5 raisons d’être accro à Sherlock

Sherlock Holmes, le détective londonien imaginé par Sir Arthur Conan Doyle a eu bien des visages sur nos écrans. Mais cette fois-ci les créateurs de cette série Steven Moffat et Mark Gatiss ont su redonner un coup de jeune à ces bons vieux Sherlock et Watson. En effet, le duo est téléporté au XXIeme

C’est cette idée de Sherlock Holmes dans un contexte contemporain qui m’a séduite. Et depuis je bénis Netflix de l’avoir affiché dans les recommandations. Tu sais que je suis une grande adepte des séries Netflix sous un bon plaid, j’avais d’ailleurs fait un top 3 de mes favorites. Si j’ai décidé de consacrer un article entier à une seule série c’est car j’ai vraiment adoré chaque minute de chaque épisode.

Le personnage Sherlock

Sherlock est brillant et doté de facultés hors du commun. Je suis littéralement fan de ce personnage, de son charisme, de son intelligence mais surtout de son franc-parler et de son je m’en foutisme. Il n’hésite pas à dire ce qu’il pense, surtout il ne met jamais (mais vraiment jamais) les formes et se fiche éperdument de ce qui peut blesser ses interlocuteurs. C’est une personne asociale, impatiente et colérique, d’ailleurs il se qualifie lui-même de « sociopathe de haut niveau ». Tu t’en doutes avec un tel monsieur, les répliques envoient du lourd. En voici quelques unes juste pour le plaisir

Sherlock: Quelle drôle de petite cervelle vous avez, vous devez beaucoup vous ennuyer !

John : Pourquoi n’y ai-je pas pensé ?
Sherlock (très sérieux) : Parce que vous êtes stupide ! (John le dévisage) Non, ne faites pas cette tête, presque tout le monde l’est !

Sherlock: Je ne suis pas un psychopathe, je suis un sociopathe de haut niveau il faut vous renseigner.

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Des acteurs sur mesure

Evidement le personnage de Sherlock ne serait pas aussi incroyable sans l’acteur qui l’incarne Benedict Cumberbatch. Mais ce n’est pas le seul acteur brillant de la série, loin de là. Tous jouent leur rôle à merveille. Je pense notamment à Martin Freeman (Bilbon dans le Hobbit) qui interprète John Watson le célèbre bras droit de Sherlock. Mais aussi et surtout, Marc Gatiss qui incarne magnifiquement bien Mycroft Holmes. Sans oublier Andrew Scott qui prête son visage à Moriarty, le grand méchant de la série. Il le joue si bien que son visage m’exaspère ahah. Bref, tu as compris, le jeu d’acteur est de très bon niveau. Tous ces personnages ont des personnalités atypiques et ces acteurs leur donnent vie avec talent.

L’intrigue nous tient en haleine

Sans une intrigue de qualité, la série ne vaudrait pas le coup. Dans chaque épisode l’enquête est différente, mais il y a quand même une chronologie dans la vie des personnages et dans certaines énigmes. Ce que j’aime c’est que l’on ne s’ennuie pas une seule seconde. On ne perd pas de temps avec des scènes inutiles. Mais je ne t’en dis pas plus sur le sujet au risque de te spoiler. (Oh tu m’en voudrais beaucoup)

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L’ambiance so British

Évidemment, Sherlock est un détective privé vivant à Londres, et ce n’est pas plus mal. Enfin une série policière de qualité qui sort des grandes villes américaines. Plusieurs fois, on retrouve des clichés complètement British comme le thé qui revient aussi souvent que les litres de café que boit Gibbs dans NCIS. On notera aussi la présence de nombreuses traditions anglaises, par exemple la garde royale ou encore les protocoles au parlement. Sans oublier, l’appartement de Watson et Sherlock. La tapisserie… plus British tu meurs…

Le format des épisodes

A ce jour la série compte 4 saisons et 13 épisodes. Oui tu lis bien seulement 13 épisodes. Par contre leur format est un peu different étant donné que chacun d’eux dure en moyenne 1h30. J’aime beaucoup ce format. J’ai souvent remarqué que dans les séries, les épisodes de 40/50 minutes ne laissent pas assez de temps pour dérouler l’intrigue. Là, c’est comme un film qui a plusieurs volets et qu’on peut regarder sans attendre des années. Plus personnellement j’aime bien ce format aussi car je me dis « ok, ce soir un épisode et je vais dormir », du coup je ne me couche pas trop tard tout en profitant de l’épisode sans le crier de frustration  « quoi déjààà? » au générique final.

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